A L’ECOLE DU CHAMP DE HIGGS, UN AUTRE REGARD D’UFOLOGUE

 

Publié le 28/06/2018 par Patrick Reckel sur le site Ovnis-direct.com

 

La masse fait historiquement référence à la substantialité.

C'est-à-dire la quantité de matière contenue dans un objet.

 

Donc, dès qu'on pense masse, on pense matière et dès qu'on pense matière, on pense masse.

 

Cette intrication qui date d'Aristote va être détricotée par la théorie du boson de Higgs en 1964.

 

La masse d'une particule élémentaire est en réalité une propriété qu'elle acquière du fait de son interaction avec le vide...qui n'est pas vide.

 

Cette mise à jour de notre enseignement scolaire m'a inspiré une piste d’interprétation inédite des caractéristiques d'ovnis.

 

 

En juin 1964, Robert Brout et François Anglert, tous deux belges, avec quasi simultanément en août 64, l’écossais Peter Higgs ; partagent Indépendamment la même idée calculée selon la théorie des champs.

 

Cette idée vaudra à Anglert et à Higgs le prix Nobel de Physique 2013. Ils parient d'expliquer le réel par l'impossible. Ce que nous observons peut être décrit par des lois qui contredisent l'observation directe.

 

Rappelons-nous la gravité prétendant qu’un kilogramme de plume est soumis à la même loi qu’un kilogramme de plomb.

 

La loi doit réinterpréter l'observation et la valider mathématiquement en clarifiant le cadre référentiel.

 

Ces physiciens réinterprètent la notion de masse et disent :

 

"Peut-être qu'il est vrai, malgré des théories annexes de recollement, comme le démontrent de façon têtue les mathématiques, que les particules élémentaires ont toutes une masse nulle".

 

Il serait par conséquent mathématiquement vérifié qu'elles interagissent toutes à des distances infinies contrairement à ce qu’on démontre en fonction de leur masse !

 

À moins que ce soit la définition de la masse des particules que nous devions remettre en cause ?

 

Digne du polonais Nicolas Copernic, c’est l’explication courageuse du réel, par Anglert et Higgs, pour la remise en cause de ce qui est acquis comme étant le sens commun depuis toujours.

 

Qui ose contredire le bon sens matériel voulant qu’une masse soit l’agrégation de masses élémentaires parfaitement sujettes à la gravité ?

 

Il faut d’abord une dose d’imagination dont les ufologues décomplexés n’ont pas à rougir. Et ensuite des surdoués en physique, eux aussi décomplexés, et d’énormes moyens pour crédibiliser une hypothèse loufoque. Dans notre domaine, ces deux derniers se font trop rares.

 

Grâce à Anglert et Higgs, nous savons désormais que la masse est en réalité une propriété secondaire des particules et non pas intrinsèque. Elle résulte de leur interaction avec le vide.

 

Ces savants vont donc supposer que pour donner l'illusion qu'une masse peut être la somme de masses élémentaires, alors que ces dernières sont définitivement de masse nulle, l'espace contient un champ scalaire.  

 

Le vide contient en effet en tous points un champ de Higgs (rempli de bosons scalaires) dont la valeur est aussi mesurable qu'un niveau de température.

 

Ce champ est donc partout dans l'espace.

 

Les particules interactives de l'espace, toutes de masse nulle, interagissent plus ou moins fortement avec ce champ. Et c'est le couplage que ces particules ont avec le champ de Higgs qui détermine leur vraie masse.

 

Nous constatons qu'elles ont une masse ou une inertie. On a par conséquent l'impression qu'elles-mêmes possèdent cette inertie et une masse alors qu'en fait, les deux résultent du couple interactif avec le champ.

 

Au CERN, le 2 juillet 2013, ce bouleversement mathématique de la définition de la masse, théorisée un demi-siècle plus tôt par trois génies, est validé ! 

 

Le boson existe bien et le champ scalaire de Higgs itou.

 

Ce qu'on appelle la masse des particules est bien en fait le degré ou la mesure du couplage que les particules ont avec le "vide".

 

Qui en réalité ne l'est pas puisqu'il recèle ce champ scalaire.

 

Ce degré est un peu comparable à un taux de 'frottement' entre la particule et le champ.

 

Mais ce n'est qu'une image didactique proposée par le physicien Étienne Klein.

 

Sans "frottement" la particule atteint la vitesse de la lumière, dont les particules d'interactions (photons) étaient déjà réputées sans masse. On déduit plus spécifiquement désormais que le photon aurait une masse s’il n’était pas physiquement découplé du champ scalaire.

 

Je ne vois pas non plus d’inconvénient à supposer que certains phénomènes aériens non identifiés puissent annuler leur masse par réduction des couplages entre particules et champ de Higgs.

 

Mais est-ce que le CERN va m’aider à le démontrer ?

 

Avec le champ de Higgs, un autre regard sur l'ufologie PEUT ÊTRE AUSSI : 

« Expliquer le réel par l'impossible ».

 

Ce qui est bien réel, c’est que nombre d’ovnis observés ont des accélérations et des changements de direction déments.

 

Ils manifestent une inertie voisine de zéro, un assujettissement manifestement nul à la gravité du fait de l'attraction des masses.

 

Ils apparaissent et disparaissent parfois instantanément comme s’ils pouvaient atteindre une vitesse de photons, autrement dit celle de la lumière.

 

Dans l’immense majorité des cas, aucune émission de bruit tributaire d'interactions matérielles entre des vibrations d’une masse et celle de l’air.

 

Ce qui est impossible c’est que ces ovnis n’aient pas de masse, ils sont tellement tangibles.

 

Pourtant, s’ils n’avaient pas de masse, ils n’auraient pas d’inertie et pourraient partir et stopper net puisque l’énergie cinétique est E = ½ mV2.

 

Ils ne seraient pas sujets à la gravité, ne provoqueraient pas de vibration sonore, ne rencontreraient pas de résistance à l’air, à l’eau et à la roche ou à la lave en fusion, dans laquelle des témoins en ont vu et même filmé en train de pénétrer.

 

Ils iraient jusqu’à des vitesses dépassant nos capacités d’observation. Sans masse à déplacer, les vaisseaux seraient d’une efficience énergétique phénoménale même dans l’atmosphère.

 

L’impossible serait que des êtres en avance de quelques milliers ou millions d’années sur notre civilisation juvénile, étaient parvenus à contrôler les particules (vecteurs) d'interactions atomiques, que sont les Électrons, les Photons, Gluons, les Weaks positifs ou négatifs et autres

Zo !

 

Bien qu'ils nous apparaissent matérialisés, massifs, ces phénomènes observés pourraient savoir se découpler totalement du champ de Higgs pour réduire et annuler leur masse. 

 

 

Moyennant quoi nous ferions l'erreur de considérer que s'il y a matérialisation, il y a masse.

 

Alors qu'en fait, s’il est observé une accumulation de particules constitutives, elle pourrait être de masse nulle, quasi assimilable à une accumulation de photons...ce qui pourrait convenir à certaines observations essentiellement lumineuses, polymorphes ou diaphanes.

 

Mieux encore, selon le professeur Étienne Klein, avant la création spontanée du champ de Higgs dans l'univers, il n'y avait ni masse ni échelle de temps qui n'a d'autre sens que de conférer un âge à la masse.

 

Peut-on en déduire que de savoir se découpler du champ de Higgs, serait, outre se soustraire à la masse à l’échelle particulaire, savoir également se découpler du temps ?

 

Comme si les ovnis, de masse annulée, n'ayant plus d'âge, étaient à la fois de toutes les époques, passées, présentes et futures.

 

 

Voici qui réconcilierait des théories antagonistes sur ces appréciations.

 

Tiens, tiens, même plus besoin d'antigravité, ni de temporalité, ni de limite de vitesse.

 

Imaginez que dans la formule dV= dD/dt, ou plus basiquement, Vitesse = distance/temps, le temps tende vers zéro.

 

Pour parcourir le cosmos, ce serait plus élémentaire que de nombreuses théories, n’est-ce pas ?

 

Est-il quelque scientifique hi-level libre de l’emprise académique pour nous accompagner ou régler son compte à cette piste ?

 

Et puis enfin, ce champ scalaire de Higgs existant, la masse des couplages entre champs et particules existant, l'énergie corrélée à cette masse universelle par la formule E=mC2 étant incommensurable et omniprésente... Il faudrait être peu évolué pour ne pas exploiter cette manne énergétique partout disponible.

 

Pour ne pas être un voyageur de l’univers sur le ‘Symphonie of the space’.

 

Dans un vaisseau de croisière interstellaire grand comme le ‘Symphonie of the seas’ avec ses 9000 passagers. Et être ‘démassé’ pour faire une halte en chaloupe d’excursion dans l’atmosphère de la plus belle et la plus bleue des planètes de l’univers.

 

Vous savez ?

 

Celle qui est représentée sans équivoque sur certains guides de voyages artefacts très anciens, par deux cercles concentriques.

 

 

Patrick Reckel

 

Biblio spécifiquement interprétée : Cours de théorie des champs du professeur Étienne Klein.

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