Nouvelle théorie conspirationniste ? Des astronautes assassinés pour dissimuler des secrets ?

Thomas Baron, l’inspecteur de la sécurité (NC)

 

Des astronautes de la NASA auraient été assassinés afin de les empêcher de révéler toute la vérité concernant les atterrissages sur la Lune. Cette théorie, à peine croyable, possède de nombreux soutiens.

 

Les astronautes de la mission Apollo Neil Armstrong, Buzz Aldrin et Michael Collins faisaient partie de l’équipage d’Apollo 11. C’est au cours de cette mission que des hommes ont, pour la première fois, posé le pieds sur la surface de la Lune en 1969.

 

Cette mission remarquable a généré de nombreuses théories. En effet, beaucoup soupçonnent que les atterrissages lunaires étaient, en réalité, un vaste canular.

 

Certains théoriciens ont même prétendu que des astronautes avaient été « liquidés » dans l’unique but de cacher des informations top secrètes sur les programmes menés par la NASA.

 

Un homme, connu uniquement sous le pseudonyme de Sound of Science, a déclaré :

 

« 10 employés des missions Apollo sont morts dans des accidents inhabituels, notamment des chutes, des accidents et des incendies. »

 

« Tous ces décès sauf un étaient directement liés à la NASA ou à l'US Air Force. »

 

« Savaient-ils quelque chose que nous ne savions pas ? Ont-ils été réduits au silence ? »

 

La mort des astronautes Virgil Grissom, Ed White et Roger Chaffee en 1967 est un événement particulièrement choquant.

 

Ils ont été tués dans un incendie dévastateur sur la rampe de lancement Apollo au cours d’une simulation.

 

L’intérieur du module de commande a pris feu et chacun d’eux a été asphyxié - la source de l’incendie n’ayant jamais été déterminée.

 

La famille de Grissom n’a pas été convaincue par les explications fournies par la NASA.

 

Son fils Scott a déclaré : « Je pense que cela a été délibérément saboté par quelqu'un, cela a semé le doute dans mon esprit. »

 

« Qu’est-ce que l’enquête sur l’accident a révélé ? Comment cela a-t-il été géré ? Est-ce que la CIA a été impliquée ? Cela a été fait intentionnellement. »

 

La veuve de Grissom, Betty, a ajouté : « Je pense que la NASA doit se manifester et nous donner une réponse directe sur ce qui s'est réellement passé. »

 

Beaucoup ont émis l'hypothèse que Grissom était un lanceur d'alerte qui voulait révéler que la NASA n'avait aucune intention d'atterrir sur la lune.

 

Thomas Pickering, qui cherche à faire toute la lumière sur cette affaire, a écrit : « J’ai moi-même compris pourquoi Grissom a été assassiné comme il l’a été. »

 

« C'était un lanceur d'alerte présumé ou réel qui avait tenté de révéler que le programme spatial Apollo était une fraude et que son intention n’était aucunement de se rendre sur la Lune. »

 

« À partir de 1961, le programme de simulation Apollo était un type d’opération psychologique américain et n’a jamais été un programme réel dont le but était d’aller sur la lune. »

 

Avant le tragique accident, l'inspecteur de la sécurité Thomas Baron avait rédigé un rapport décrivant les problèmes liés aux pièces, aux matériels et aux procédures de la NASA.

 

Il travaillait pour North American Aviation, principal contractant responsable de la construction du module de commande Apollo.

 

Baron a été congédié après avoir divulgué toutes ces informations aux médias.

 

Après que l'incendie se soit déclaré, il a témoigné devant le Congrès et a examiné un rapport de 500 pages sur l'accident.

 

Une semaine après ces révélations, la voiture de Baron et sa famille a été heurtée par un train à une intersection.

 

En même temps que ces trois astronautes, des observateurs affirment qu'il a été tué pour détourner l'attention du rapport sur l’utilisation d’explosifs. Ce document aurait ensuite disparu.

 

Bill Kaysing, un homme qui enquête sur le « canular lunaire », a déclaré : « Je pense que Thomas Baron a été assassiné parce qu'il connaissait sur le projet Apollo la vérité et souhaitait la raconter. »

 

En dépit des théories, il n’y a eu aucune preuve de crime, dans aucun des incidents susmentionnés.

 

Des journalistes du Daily Star ont contacté la NASA pour corroborer ou réfuter ces révélations fracassantes. Pour l’heure aucune réponse n’a été reçue.

 

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