L'Ovni de l'aéroport d'Orly en 1956

Quand un énorme ovni terrorisa l’aéroport d’Orly pendant 4 heures ! 

 

Certes les faits sont anciens ‘’1956’’ mais le phénomène est fantastique.

 

Un énorme ovni est venu poursuivre des avions, brouiller les radars, brouiller les fréquences radio, et terroriser les pilotes au-dessus de Paris, pendant 4 heures.

 

Voici cette incroyable histoire…

Dans la nuit du 17 au 18 février 1956 à 23 heures, apparaissait sur le radar d'Orly une tache correspondant à un objet d'une taille deux fois supérieure à celle des plus grands appareils alors en service. Taille estimée de l'ovni entre 50 mètres et 70 mètres ! 

 

Aucun avion n'étant signalé dans la zone, les techniciens se bornèrent d'abord à suivre les évolutions de l'objet supposé, évolutions fantastiques, puisque les vitesses variaient du sur-place le plus rigoureux à 2 500 km/h, voir 3 600 km/h. 

 

Mais voici qu'un DC 3 de la ligne de Londres apparaît dans le champ de l'appareil. L'objet inconnu, qui à ce moment était stationnaire, est vu sur l'écran démarrant à une vitesse foudroyante et fonçant vers le DC 3. La tour d'Orly appelle alors ce dernier pour lui demander s'il ne voit rien. 

 

- Je vois une lumière rouge clignotante qui se dirige vers moi apparemment à très grande vitesse, répond le pilote.

 

- Quelle position attribuez-vous à cette lumière ? 

 

- La verticale des Mureaux.

 

C'était la position repérée au radar. Le pilote du DC 3 dut changer de cap pour éviter une collision qui lui semblait imminente, puis l'objet disparut à ses yeux.

 

- Je ne vois plus rien. Avez-vous perdu le contact ?

 

- Non, répond la tour de contrôle. L'objet semble être du côté du Bourget. 

 

En effet, le pilote, en se tournant de ce côté, aperçoit de nouveau non seulement la mystérieuse lumière clignotante, mais bien l'objet lui-même, énorme et noir sur le fond du ciel. 

 

Ce manège dura quatre heures consécutives. Au dire des enquêteurs de l'aviation civile, les pilotes des divers appareils qui atterrirent cette nuit-là à Orly après avoir vu la lumière clignotante, et parfois l'objet, manœuvrer autour d'eux à des vitesses folles, étaient blêmes de peur. 

 

Mais ce n'est pas tout… 

 

L'objet "connaissait" l'existence et la position des radio-balises. Il se déplaçait fréquemment de l'une à l'autre à des vitesses atteignant 3 600 kilomètres-heure. 

 

 Il "connaissait" l'existence et les limites du radar. Quand aucun avion n'était en vue, il sortait du champ du radar par la verticale, et n'y rentrait que pour foncer vers l'avion en train d'approcher. 

 

Et voici le plus fantastique. A un moment, pour en avoir le cœur net, les opérateurs appelèrent le radar du Bourget : - Avez-vous la même réception que nous ? 

 

Aussitôt, le radar d'Orly fut brouillé par une puissante interférence. Pour échapper au brouillage, les opérateurs d'Orly changèrent de fréquence. Plus de brouillage pendant quelques secondes, au cours desquelles l'objet redevint parfaitement visible sur l'écran. 

 

Après quoi le brouillage reprit sur la nouvelle fréquence: tout se passait comme si l'objet, ayant intercepté et compris la conversation entre Orly et Le Bourget, avait jugé importun le repérage radar et l'avait brouillé, et ceci de fréquence en fréquence, car radar et brouillage ne cessèrent à partir de ce moment de se poursuivre ! 

 

Détail: le radar du Bourget, en dérangement, ne fonctionnait pas cette nuit-là. 

 

L'OVNI a escorté le fameux DC-4 pendant un temps, puis il est reparti vers Orly ou il a pris en chasse un autre avion qui atterrissait au Bourget. Ensuite, l'OVNI s'est livré à un "véritable ballet aérien" et est revenu finalement à la verticale d'Orly, où il a alors filé droit à la verticale et à une "vitesse vertigineuse" vers le ciel. 

 

Ainsi, dans ce cas particulier, l'observation radar fut doublée non seulement de l'observation optique, visuelle, par les pilotes qui aperçurent l'objet en vol, mais par tout un manège chat et souris évoquant irrésistiblement une activité intelligente. 

 

Mais encore, rapporte un journal allemand le magazine Quick-Texte, de Münich, dans son numéro 11 de mars 1956 :

 

Le vaisseau fantôme d’Orly, a suivi le vol 103 de la Swissair pendant 40 secondes. Alors il a disparu en un clin d'oeil au-dessus d'Orly, pendant que les avions de chasse que le technicien de radar a alerté trois heures avant pour être envoyés en interception décollaient. L'Etat Major Général Français Staff examine maintenant pourquoi l'envoi des avions de chasse depuis le terrain d'aviation de Tours à 200 kilomètres de là avait été si long. L'explication proposée est "des causes indéterminables"...

 

 Aimé Michel raconte :  Quelques années plus tard, je reçus à Paris la visite d'un des membres les plus éminents de la Commission d'Enquête de l'U.S. Air Force venu consulter mes dossiers et échanger avec moi ses impressions. Interrogé sur ce qu'il pensait du cas d'Orly, il poussa un soupir désabusé : 

 

- Des cas de cette sorte, nous en avons tous les mois aux Etats-Unis.

 

- Et vous les expliquez ?

 

- Les expliquer ? Comment les expliquerions-nous ? C'est parfaitement inexplicable.

 

- Mais alors, pourquoi diable publiez-vous périodiquement des communiqués affirmant que 99,5 % des cas qui vous ont été soumis ont reçu une explication satisfaisante, et que les autres n'ont aucune importance ? 

 

Nouveau soupir désabusé :

 

- Pourquoi ? Pour avoir la paix. N'oubliez pas que la commission américaine est une commission militaire. Ah ! si l'U.S. Air Force confiait cette tâche à des hommes de science

Un autre cas d’ovni au- dessus d’Orly, mais qui ce serait crashé ?! 

Comme les "Envahisseurs" morts. 

La "Soucoupe" d'Orly se serait désintégrée en s'écrasant au sol ! 

 

    

Cette fois-ci l'histoire de "Soucoupe volante" semble pour beaucoup ne pas être une élucubration. 

 

Deux pilotes de ligne ont vu l'OVNI qui évoluait, le 25 avril, au-dessus de la capitale, s'écraser à l'extrémité nord des pistes d'Orly. Cette révélation, connue aujourd'hui seulement, est l'une des minutieuses observations faites à l'aéroport par de nombreuses personnes dignes de foi. Ces observations ont été tenues secrètes par les services de la Police de l'Air. 

 

En ce qui concerne les pilotes, ceux-ci se préparaient à atterrir ce soir-là, à 20 h 55, lorsqu'ils signalèrent, à la tour de contrôle, qu'un objet de couleur rouge sombre prolongé d'une traînée lumineuse, évoluait à faible altitude, au-dessus de l'aérodrome, suivant le cap sud-est - nord-ouest. Quelques instants plus tard, précisèrent les pilotes, "l'engin" s'écrasait à l'extrémité nord du terrain. 

 

De leur côté, les techniciens de la tour de contrôle avaient fait la même constatation, ainsi que les gendarmes mobiles en mission de surveillance sur l'aéroport, ces derniers indiquant en outre que "l'engin" en se désintégrant, avait éclaté en trois morceaux distincts. Des recherches aussitôt effectuées de la zone nord d'Orly ne devaient cepandant donner aucun résultat. La police affirme n'avoir retrouvé aucun débris suspect ni relevé aucune trace anormale sur le sol. 

Un témoignage d'un radariste :

 

Soudainement un brouillard en forme de banane s’est formé autour d’un corps géant mystérieux sur l’écran de visualisation du radar. "Il est resté immobile, et nous pouvions exactement voir comment un DC-3 qui décollait et un Constellation qui atterrissait ont plongé sous le corps géant. Il m’a semblé que c’était comme si le vaisseau fantôme voulait observer le trafic aérien de Paris,". 

 

Mais le vaisseau fantôme s’est reposé dans la direction du nord-est de lui, s’est arrêté là et a finalement sauté vers un avion de la poste. "Nous avons déjà craint une collision, quand l’objet impossible à fait un cercle : il avait découvert une nouvelle cible sous forme du vol 103 de la Swissair venant de Londres. Il a croisé le cours du DC-3 FBAXI qui venait juste de décoller. Leur pilote nous a parlé d’une boule de feu compacte rougeâtre." 

Image du DC3 air France qui fit partie de cette incroyable rencontre...

 

Comme toujours, c’est à vous de juger...

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