Il y a 20 ans le 2 janvier 2000 décédait Jimmy Guieu écrivain chercheur sur les ovnis extraterrestres

 

Demandez à vos parents et à vos grands-parents, ils s'en souviennent encore... Durant l'automne 1954, notamment en France, on parlait énormément d'invasions de Soucoupes Volantes et de Martiens... Personnellement j'étais très jeune à cette époque, mais ces histoires de Soucoupes Volantes et de Martiens m'avaient fortement impressionnées, par rapport aux récits que m'en faisaient mes parents par la suite, et cela me fascine toujours...

Ci-dessous, le fameux magazine d'informations "RADAR" publiait en 1954 sur les apparitions et les rencontres d'ovnis appelés Soucoupes volantes, et sur les Extraterrestres appelés MARTIENS... Avec de superbes dessins en illustrations !... Là, c'est la rencontre de feu Marius Dewilde, à Quarouble, dans le Nord de la France, en automne 1954... :

 

Il y aussi l' affaire Marius Dewilde

 

Bien que les faits ne se soient pas passés dans la région, le principal acteur de cette affaire à vécu et finit ses jours à Tours...

 

En 1954, et dans les années qui suivirent, l'Affaire Dewilde défraya la chronique des journaux du monde entier : Allan Hynek lui-même vint en France pour rencontrer l'ouvrier métallurgiste qui disait avoir vu « des choses extraordinaires » sur une voie ferrée, à Quarouble, dans le nord de la France : en effet, Marius Dewilde possédait une preuve matérielle à sa déclaration, un mystérieux objet qui, visiblement, intéressait toutes les polices, la Police de l'Air notamment.

Un mois plus tard, après bien des tracas que M. Dewilde rapporte dans ce livre, un deuxième atterrissage a lieu au même endroit : cette fois, Dewilde et son fils montent à bord de l'engin, et Dewilde obtient une seconde preuve matérielle qu'il détient toujours. Or, durant presque trente ans, Marius Dewilde semble avoir été contraint au silence. Puis, en décembre 1979, il téléphone à l'ufologue Jimmy Guieu pour lui dire : « J'ai des révélations extraordinaires à vous livrer, j'habite Tours et ne peux me déplacer ».

 

Homme de terrain passionné par le phénomène ovni depuis 1977, Claude burkel est ce qu’on a coutume d’appeler dans le milieu ufologique un « chercheur ». En 1994, il prend contact avec Marius Dewilde, le témoin d’une des affaires les plus connues de l’ufologie française. A plusieurs reprises les deux hommes vont s’entretenir au téléphone. Puis c’est la rencontre, à Tours, où demeure Marius. Une rencontre chaleureuse entre les deux hommes. Aidé de ses notes, claude nous livre aujourd’hui la teneur des confidences que lui fit Marius, et qui laissèrent à jamais une forte et troublante impression dans l’esprit du chercheur… Marius Dewilde devait décéder deux ans plus tard, le 1er octobre 1996.

 

Ma rencontre avec Marius dewilde

En août 1994, je me rends à Tours et je rencontre Marius pour la première et dernière fois, dans sa maison, avec son épouse et ses deux chiens. Gitan d’origine, c'est encore un homme robuste, malgré ses 73 ans. Ses yeux sont vifs et il parle un langage assez rustre avec un fort accent. Il a perdu son bras droit dans des circonstances très étranges. Nous nous connaissons déjà par téléphone, aussi suis-je particulièrement bien reçu. Marius est un homme simple, son langage est rustique, et toute notion scientifique lui est totalement étrangère. La science lui est inaccessible, faute de culture générale, et pourtant de par le contact qu’il a vécu, il semble capable d’émettre des concepts très supérieurs aux connaissances actuelles. Tout de suite, il me parle de Marc Thirouin : « C’est un de mes plus grands amis, l’un des plus sincères de tous les ufologues », me dit-il. Marius sait que j’ai travaillé avec lui dans la fin de sa vie, c’est d’ailleurs comme cela que je me suis présenté à lui.

 

Confidences de Marius

 

Nous parlons alors de ces documents que nous nous sommes échangés par voie postale et que nous n’avons jamais reçus. Il m’avait prévenu au téléphone : « Ecoutez. Si vous m’envoyez quelque chose, faites-le en recommandé avec accusé de réception, parce qu’il y a tellement de courrier qui ne me parviennent pas. Tout est plus ou moins saisi, vous voyez ». Les courriers étaient donc partis en recommandé et ils ne sont jamais arrivés. Après avoir fait le tour de cette disparition postale, Marius me retrace toute l’affaire de 1954, dont les évènements sont déjà bien connus du public. Il me parle aussi, en des termes affectueux, de son chien Kiki qui lui aussi fut témoin du premier atterrissage et qui tomba malade peu après. Il évoque son fils, âgé de trois ans en 1954, et qui était présent à ses côtés pendant toute cette période. Comme je lui demande où se trouve son fils aujourd’hui, il me répond qu’il a désormais très peu de contact avec lui. « Mon fils ne veut plus entendre parler de cette histoire. C’est un garçon qui a peur. Lorsque j’ai été chez lui, j’ai vu des ovnis, et cela à 200 km de chez moi. Il a pris son appareil et les a photographiés. Nous avons tous peur. Il y a tellement de menaces. Et encore les menaces… lorsque c’est verbal… moi je suis manchot maintenant. C’est pour ça que je n’en dis pas trop au téléphone, et que je préférais que vous veniez me voir directement chez moi. » Peu à peu une confiance s’instaure entre nous. Il me raconte alors les problèmes qu’il a rencontré avec des services de renseignements français et américains.  « Je vais vous dire quelque chose. J’ai toujours des contacts avec ces « êtres » mais je ne dis plus rien car on est venu m’assaillir chez moi. J’ai eu le bras coupé, et ils sont revenus, j’ai eu quatre côtes cassées et la mâchoire décrochée… Pour mon bras c’était en 1971, et c’est en 1982 ou 83 qu’ils m’ont cassé les côtes et la mâchoire. Ils cherchaient ce qui était resté dans ma tête. Mais je ne suis pas fou… »

 

Il me raconte qu’il a été invité par des ufologues américains, des spécialistes de Roswell, à se rendre aux Etats-Unis. Il devait recevoir un chèque de 10000 dollars. Malheureusement, suspecté d’espionnage, il ne put répondre à cette invitation. Il n’a donc pas quitté le territoire, et par conséquent, il n’a jamais reçu l’argent. « Un jour, me dit-il, j’ai fait une conférence, j’étais invité par des amis ( le Gepan ). J’ai dit tout ce que je pensais du gouvernement, et tout ce que j’avais sur le cœur. J’ai été invité dans beaucoup d’endroits. J’ai accepté de passer à la télévision à condition que je dise la vérité sur le gouvernement. Ils ont refusé. Ils ne veulent pas que je raconte des trucs pareils. Pourtant, il faut voir ce que ces « êtres » m’ont fait vivre. Ils m’ont donné beaucoup de choses. Ce sont des êtres qui possèdent une science supérieure. Pour eux, nous, nous ne sommes que des bêtes ! » Puis, après une bonne heure de discussion, Marius en est arrivé à me parler de la fameuse « valise » de 70 cm de long et 40 cm de profondeur et autant de largeur, que les « êtres » lui avait confié et qui avait été récupérée par un commandant, un capitaine et deux hommes de troupes en armes, avait été remise aux Etats-Unis à la suite de transactions entre les gouvernements français et américains. « Là encore, me dit-il, on m’avait promis de l’argent que je n’ai jamais reçu ». Il me raconte alors qu’il a été soumis à la torture par les services secrets. Tout d’abord ce fut pour le faire parler, puis dans un second temps, ce fut pour le rendre fou et le faire passer pour quelqu’un de dangereux. Ces pratiques ont duré plusieurs années. Puis il y eut les menaces verbales, la surveillance, l’ouverture de son courrier. D’après ses dires, tout cela durait encore en 1994… Je lui ai demandé de m’en dire un peu plus sur cette valise ou cette boîte. Avant de la cacher dans le tas de charbon de sa cave, Marius l’avait ouverte et m’a confirmé qu’il y avait bien toutes sortes de « cadrans » sans aiguille à l’intérieur. « Ca clignotait ; c’était de toutes les couleurs. Il n’y avait pas de relief. » Puis, il m’a expliqué qu’une fois la boîte refermée, les jointures ont disparu. Elles se sont comme escamotées et il n’a jamais été en mesure de rouvrir la « boîte ». Le poids de celle-ci devait faire à peu près 5 à 6 kg. Lorsqu’il tapait dessus, ça résonnait comme si elle était vide… Vers la fin de notre entretien, il m’a dit qu’il possédait encore l’autre objet : une plaque ronde de 10 cm de diamètre et 3 cm d’épaisseur. Il y avait des signes gravés à la surface qui ressemblait un peu à des crop-circles. Et sans me témoigner la moindre méfiance, il m’a montré la plaque. Je ne sais pas ce qu’elle est devenue maintenant. Toujours est-il qu’il n’a pas souhaité que je fasse des photos. « Trop dangereux, m’a t-il dit, en précisant que son fils n’avait jamais eu l’occasion de voir cette plaque, « Je vais vous dire quelque chose, j’ai tellement de menaces… C’est pas possible Monsieur, j’ai tout expliqué, on m’a tout pris, tout. Je ne sais pas si vous avez lu le livre… c’est une véritable trahison qu’ils ont fait là. J’ai raconté quelques petites choses de ma vie, et le directeur… il a tout gardé pour lui… Tout ce que j’ai expliqué ne se trouve pas sur mon livre… Moi j’ai eu un petit tirage mais ils pris ce que j’avais dit et ils ont écrit un livre en Amérique et réalisé un film avec ça. Alors, je vous le demande, à qui voulez-vous que je fasse confiance maintenant ? »

 

Au moment de nous séparer, nous avons parlé des poules mortes et des bovins exsangues et vidés de leur moelle épinière. A l’époque, il avait posé la question aux « êtres »… Leur réponse : « Nous avons besoin de certains de vos éléments pour nos superpositions d’adaptation aux différentes civilisations… » Marius avait bien retenu cette phrase qui l’avait marqué… Il se souvenait également parfaitement bien de sa visite à bord de l’ovni, et surtout des bases existantes sur terre. Sa descrïption était précise et il ne manquait aucun détail.

 

Conclusion

 

J’ai eu beaucoup de chance de rencontrer cet homme et de pouvoir discuter avec lui à plusieurs reprises au téléphone. Il n’est plus parmi nous aujourd’hui. Le premier atterrissage et les péripéties exceptionnelles qui suivirent ne peuvent pas être mis en doute. Trop de recoupements, trop d’éléments matériels. Il n’en est peut-être pas tout à fait de même des événements qui suivirent. Que penser des pressions militaires ; du rôle des services secrets ; des contacts répétés qu’il eut par la suite avec ces visiteurs… Bref au sujet de tout ce qu’il affirma par la suite, je suppose que la raison impose la prudence la plus élémentaire. Qui peut connaître la vérité d’un homme qui fut réellement et brutalement confronté à un phénomène inconnu…? Le 10 septembre 1954, cet homme a vécu une expérience hors du commun. Il n’était pas fou, en aucun cas, quand je l’ai rencontré. Tout au long de nos conversations, il était complètement sincère… Toutefois, si ce qu’il m’a dit était bel et bien sa vérité, était-ce pour autant conforme à la réalité ? On a vu d’autres exemples où le « phénomène » pouvait projeter des images, des événements, des souvenirs dans l’esprit de certains contactés qui dès lors les tenaient pour réels. D’un autre côté, il y avait ces courriers recommandés disparus ; il y avait ces objets en sa possession, cette plaque qu’il m’a montré, et ces excroissances de nickel qu’il disait avoir pris dans le vaisseau par poignées. « Des résidus » lui avaient répondu les « êtres » alors qu’il leur demandait ce que c’était.

 

Il m’a offert une petite quantité de ces résidus, et peut-être un lecteur pourra-t-il me dire d’après la photo à quoi peut bien correspondre cette formation métallique pleine, comme si le métal- à la manière d’un végétal- avait poussé. Certains amis m’ont dit que ce genre de chose ne pouvait se faire que sous apesanteur… une confirmation serait la bienvenue. Une analyse sérieuse de ce matériel pourrait nous apporter le début d’une réponse, une fois pour toute.

 

 

D’une façon ou d’une autre, Marius Dewilde a payé très cher d’avoir touché du bout des doigts au grand mystère des ovnis. Et quoiqu’il arrive, il a emporté son secret avec lui…

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Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Marius_Dewilde

Info de la revue Top secret N°17, Source: Claude Burkel

Plus d'info: La rencontre de Marius Dewilde (1954) http://rr0.org/science/crypto/ufo/enquete/dossier/Quarouble/index.html

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