Les extraterrestres utilisent des sondes auto-répliquantes pour explorer la Terre et la galaxie entière

 

L'une des questions que les scientifiques se posent habituellement est de savoir où se trouvent tous les extraterrestres dans une galaxie pleine de planètes ; pourquoi une autre civilisation ne nous a-t-elle pas encore officiellement contactés ?

 

Un astrophysicien a une réponse révolutionnaire à cette question : les extraterrestres sont déjà là et depuis très longtemps !

Zaza Osmanov, de l'Université libre de Tbilissi en Géorgie, a suggéré dans une nouvelle étude qu'une race d'êtres extraterrestres utilise des sondes auto-répliquantes pour explorer notre galaxie, y compris la Terre.

 

Osmanov prétend qu'une civilisation qui atteint au moins un stade 2 de l'échelle de Kardashev, un niveau au-dessus de nous, serait déjà tout à fait capable de produire une flotte de sondes Von Neumann.

 

Les sondes Von Neumann sont de petits robots auto-répliquants qui collectent des ressources à partir de planètes et d'astéroïdes pour construire de nouvelles copies d'eux-mêmes, satureraient rapidement la galaxie. Et les sondes feraient un nid d'abeilles pour un candidat évident comme la Terre.

 

 

"Tous les résultats indiquent que si un objet étranger avec des valeurs extrêmement élevées de luminosité accrue est détecté, cela peut être un bon signe de placer l'objet sur la liste des candidats pour les sondes extraterrestres de Von Neumann", a écrit l'astrophysicien russe dans un nouveau article scientifique.

 

"Nous avons envisagé le scénario où la civilisation de type II doit" envahir "les nuagesinterstellaires par le biais de robots auto-reproducteurs", a-t-il poursuivi.

"Et il a été démontré que ce processus conduira inévitablement aux conséquences de l'observation."

 

Mais quand il s'agit d'expliquer pourquoi nous n'avons pas vu cette flotte de sondes, Osmanov a une théorie nouvelle et totalement plausible : les sondes sont beaucoup plus petites que ce que l'œil peut voir. Ou ils sont équipés d'un blindage Stealth, invisible à l'œil humain et du radar militaire. En fait, ce n'est pas un hasard si en Russie et dans d'autres parties du monde, les ovnis ne sont enregistrés que grâce à des caméras infrarouges.

 

 

Le scientifique affirme que la nanotechnologie est le choix évident pour construire une sonde qui se déplace rapidement, se construit rapidement et s'adapte à un large éventail de sites d'atterrissage possibles : "Nous avons analysé l'efficacité des sondes Von-Neumann à l'échelle microscopique par rapport aux macrorobots et nous avons trouvé que le premier pourrait [reproduire] efficacement dans les milieux interstellaires, alors que les automates à grande échelle ne peuvent être reproduits que sur des planètes rocheuses, cela nécessite des manœuvres supplémentaires."

Même s'il y avait des milliards de ces petites machines qui se faufilaient dans le système solaire, nous ne pourrions pas les détecter avec notre instrumentation actuelle. Chacun aurait une taille d'environ un nanomètre, ce qui n'est qu'un milliardième de mètre.

 

Mais bien que les micro-machines soient presque invisibles en raison de leur taille, Osmanov dit qu'il existe peut-être encore un moyen de les détecter. Si, par hypothèse, ces sondes fonctionnent avec la lumière, elles pourraient émettre de petites quantités de lumière lors de leur voyage dans l'espace. Si vous observez à l'aide de télescopes infrarouges, ces courants lumineux apparaîtraient comme les "traînées" laissées par les comètes.

 

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