Les radiotélescopes produisent deux images des objets hypermassifs situés au centre de deux galaxies, qui comportent tous deux au centre une tache assombrie, et aussitôt les scientifiques du monde entier s'écrient "nous avons la preuve irréfutable de l'existence des trous noirs!".
Cette vidéo rappelle la genèse de ce modèle, au milieu des années soixante dix, quand John Wheeler ne se fonde que sur l'interprétation du premier article de 1916 de Karl Schwarzschild, donnée par son compatriote Richard Tolmann, décédé trente ans plus tôt, tout en méconnaissant totalement le second, qui ne sera traduit en anglais que vingt ans plus tard. Que dire de l'éclairage fourni en 1917 par le mathématicien allemand Hermann Weyl, dans un article qui ne sera traduit en anglais qu'en 2012, soit 95 ans après sa parution en langue allemande ! Weyl, qui est mort vingt ans avant l'engendrement de la chimère des temps modernes.
Les détecteurs d'ondes gravitationnelles LIGO et VIRGO captent des signaux. Là encore, comme le dit Thibault Damour, c'est une "autre preuve". Il faut savoir que les étoiles à neutrons, dont l'existence est cette fois avérée, résultent, dans leur conversion finale en supernovae, de l'écrasement de la sphère de fer que les réactions de fusion, dans les étoiles massives, "cendre" des réactions de fusion, ont constituée au centre de l'étoile. Si, pour des étoiles de 5 masses solaires la masse de cette sphère reste inférieure à la masse critique de 3 masses solaires "conduisant au trou noir", ces masses dépasseraient cette valeur pour des étoiles dont la masse peut atteindre 200 masses solaires (le record actuel). Mais quel astre donnerait naissance à ne sphère de fer de 100 masses solaires, telle qu'évaluée par Kip Thorne dans ses calculs des masses impliquées dans la production des ondes, évaluation qui lui a immédiatement val le prix Nobel !?
On ne trouve aucun recul, aucun élément de doute, dans une démarche scientifique, planétaire, qui a toutes les allures d'une religion. Tout sceptique est immédiateent taxé de "complotisme".
Dans cette vidéo je pointe le fait que dans les deux clichés le rapport des températures, maximale et minimale, est très proche de 3, ce qui correspondrait alors à des"objets sous-critiques". Tout va se jouer là-dessus, dans le peu d'années à venir. Le réseau des radiotélescopes ne tardera pas à fournir "d'autres images de trous noirs, géants ou petits", avec la même tache noire au centre.
Quelle sera l'interprétation des spécialistes si dans ces clichés on retrouve cette valeur 3 ?
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